
Ce poète nommé FOURNIER, sur lequel nous n’avons pu retrouver d’éléments biographiques, publia en 1858 à Paris, à l’imprimerie Guillois, un long poème où il chantait « La Canne ». L’objet était à la mode, aussi bien comme accessoire vestimentaire que comme instrument de défense et d’escrime. Ce poème (très long, nous le publions en deux fois) [...]